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Découvrir, recruter, intégrer et fidéliser
les pépites neuroatypiques de vos organisations

Neuroatypicité ou neurodivergence définit un fonctionnement cognitif d’une personne, qui diffère de la norme. Les neuroatypiques représentent environ 15% de la population. Ils sont souvent mal intégrés dans notre société et méconnus dans les entreprises. 

Nouvelles Directions accompagne les organisations au management des équipes.

Nous bénéficions de cette particularité de savoir comment favoriser la découverte et l’intégration des personnes neuroatypiques pour une performance globale, une efficience et une pérennité au service du bien commun.

Intégrer les profils neuroatypiques dans les organisations permet d’accompagner le bien-être de l’Homme et de son environnement ainsi que le changement de paradigme sociétal.

Comme en permaculture, c’est dans les lisières

qu’il y a le plus de biodiversité et de créativité.

De quoi parle-t-on ?

Le terme de neuroatypique rassemble :

  • les HPI (haut potentiel intellectuel, environ 2,3% de la pop, soit environ 1,5 M de pers )

  • les THPI (très haut potentiel intellectuel, environ 0,1% de la pop, soit environ 68 000 pers )

  • les TSA (Troubles du Spectre de l’Autisme, y compris le syndrome Asperger, environ 0,9 à 1,2% de la pop, soit environ 700.000 pers )

  • les "Dys" (dyslexie, dyspraxie, dyscalculie, dysorthographie,..., environ 6 à 8% de la pop, soit environ 4 à 5,5 M de pers) 

  • les TDAH (troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité environ 3,5% de la pop, soit environ 2,4 M de pers). 

 

Mais où est le problème?

Un profil neuroatypique est un ensemble de caractéristiques comportementales et cérébrales qui sont associées à une différence dans les structures cérébrales ou les mécanismes neurobiologiques. Le cerveau montre des différences neurologiques physiquement observables grâce aux imageries médicales, avec des caractéristiques qui peuvent varier considérablement d'une personne à l'autre.

Les neuroatypiques traitent l’information autrement que la plupart des individus. Le fait d’être neuroatypique ne signifie pas que la personne est déficiente ou inférieure, mais qu'elle a des besoins et des talents propres, qui doivent être pris en compte pour favoriser sa réussite personnelle et professionnelle.

Les neuro-atypiques ne relèvent généralement pas du champ du handicap. De fait, ils sont rarement diagnostiqués et encore moins accompagnés : ils cachent leur singularité pour se conformer à la norme sociale.

Ces particularités cognitives méconnues et peu prises en compte dans les entreprises engendrent très fréquemment de nombreuses problématiques telles que :

  • des non recrutements

  • une mauvaise intégration des collaborateurs

  • un mauvais positionnement professionnel

  • des difficultés manageur-managé ou managé-manageur

  • un manque de performance individuel

  • des relations professionnelles toxiques

  • un manque de performance de l’organisation

  • des compétences et capacités inadaptées aux postes de travail 

  • du mal être ou de la souffrance au travail

  • du bore out ou burn out

  • la fuite des cerveaux

  • du turn over

  • du chômage

Le fait d’être neuroatypique ne signifie pas que la personne est déficiente ou inférieure, mais qu'elle a des besoins et des talents propres, qui doivent être pris en compte pour favoriser sa réussite personnelle et professionnelle.
 

Les organisations, les services RH et les manageurs n’ont pas été formés à intégrer ces profils si particuliers.

Jusqu’aux progrès récents des neurosciences, les neuroatypiques apparaissaient davantage comme des collaborateurs à problèmes et non pas comme de potentielles pépites.

Image de zhang kaiyv

Et donc ?

Les enjeux pour l’entreprise sont multiples :

● Créer des conditions adéquates pour la performance des salariés

● Créer des conditions d’inclusion des neuro-atypiques vis-à-vis de l’ensemble des collaborateurs de la structure

● Prévenir l’épuisement des salariés neuro-atypiques 

● Permettre une meilleure performance globale de l’organisation

Le changement c'est maintenant !

Il s’agit de changer de paradigme !

On s’intéresse depuis de nombreuses années aux déficient intellectuels, aux personnes avec un handicap psychologique ou physique, à l’inclusion issue de la diversité culturelle, …, Mais les profils neurodivergents sont souvent invisibles, et ne sont bien souvent pas utilisés dans leur excellence opérationnelle.

Les neuroatypiques présentent un fonctionnement neurologique spécifique. Ils perçoivent, pensent, mémorisent, raisonnent, communiquent, résolvent des problématiques, créent des projets de manière hors-normes. 

Pour qu’une entreprise soit innovante et pérenne, celle-ci a besoin de personnes encouragées à exprimer leurs idées même (et surtout) neurodivergentes. Les collaborateurs neuro-atypiques sont à considérer comme des pépites de par leurs capacités naturelles à cerner et à anticiper les enjeux, tout en proposant des solutions originales face à des problématiques complexes.

En cette période de pénurie de talents, il apparaît essentiel de comprendre comment détecter, recruter et manager ces profils neuro atypiques et en rechercher la plus-value de la ressource humaine pour les entreprises et la société toute entière.

Changer son regard

sur les personnes neuro atypiques

et adapter sa stratégie RH

en conséquence

permet d’intégrer de potentielles pépites dans son organisation.

Les KPIS peuvent aisément être mis en place.

Nous vous y aiderons ! 

L'impact

L'inclusion des neuroatypiques dans les organisations permet :

  • Une meilleure intégration des collaborateurs

  • Une limitation des burn out

  • Une limitation des démissions

  • Une augmentation de la performance globale des entreprises

  • Une augmentation de la créativité, agilité, des organisations

  • Des Managers et salariés plus heureux

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